Le méridien du rein est symboliquement lié au siège des peurs transmises, des peurs qui se construisent à partir de scénarios mentaux ancrés dans un schéma établi.

Ce processus de création de peur passe par une autodestruction systématique : une action est initiée, suivie de la projection d'un scénario d’échec, visualisation des conséquences, et finalement, destruction.

Cette dynamique est profondément influencée par la croyance en l'existence d'un après, une illusion temporelle qui crée un espace pour projeter des futurs imaginaires soumis au système de croyances.

L'individu, focalisé sur ces scénarios mentaux, développe une barrière d’accès à son propre corps. Cette focalisation, alimentée par le cerveau reptilien et le système de survie, entraîne une boucle de scénarios d’autoréalisation qui asservit le corps à l’esprit.

La peur générée maintient l'individu dans un état d'alerte permanent, enfermant sa conscience et empêchant son épanouissement et éveil.

Conséquences émotionnelles :

L’impact de ce déséquilibre peut se manifester par une anxiété généralisée, une peur omniprésente, et des comportements autodestructeurs.

Les individus peuvent éprouver une incapacité à se détacher de scénarios négatifs, entraînant un stress chronique et une vigilance excessive.

Les émotions dominantes incluent la peur, le désespoir et l’impuissance, souvent accompagnées de troubles du sommeil et d’une perception négative de soi.

symptômes psychologiques :

• Anxiété chronique
• Stress post-traumatique
• Troubles obsessionnels compulsifs (TOC)
• Insomnie
• Attaques de panique
• Dépression
• Comportements autodestructeurs
• Sentiment d'impuissance
• Trouble de la concentration
• Peur irrationnelle des échecs

Les peurs transmises et les scénarios d'échec sont en grande partie influencés par des déséquilibres biochimiques, notamment par la régulation des neurotransmetteurs comme la dopamine et la sérotonine.

La croyance en un après et la focalisation sur des scénarios mentaux peuvent conduire à une surproduction de cortisol, l'hormone du stress, et d'adrénaline, entraînant un état d'alerte constant.

La barrière d’accès au corps, causée par cette focalisation mentale, peut altérer la communication entre le système nerveux central et les autres systèmes corporels, influençant négativement le métabolisme et le système immunitaire.

Les scénarios d’autodestruction alimentés par le système de croyances peuvent également perturber la régulation du glucose, augmentant le risque de troubles métaboliques.

La dépendance à des sources extérieures de bonheur peut également renforcer des voies neuronales spécifiques, rendant plus difficile le changement de perspective et la recherche de satisfaction intérieure.

Symptômes Biochimiques :

• Augmentation des niveaux de cortisol
• Déséquilibre de la sérotonine et dopamine
• Augmentation de l'adrénaline
• Hyperglycémie
• Désordres métaboliques
• Inflammation chronique
• Fatigue chronique
• Troubles digestifs
• Perturbations du cycle circadien
• Défaillance du système immunitaire

Les peurs transmises et les scénarios d’échec peuvent être attribués à l’activité des réseaux neuronaux liés au cerveau reptilien, responsable des réponses de survie comme la peur et l’alerte.

La croyance en un après active les régions préfrontales du cerveau impliquées dans la planification et l'anticipation, mais de manière dysfonctionnelle, cela entraîne une suractivation de l’amygdale, le centre de la peur.

La barrière d’accès au corps se traduit par une dissociation entre le cortex préfrontal et les centres émotionnels du cerveau, ce qui perturbe la régulation des émotions et la prise de décision.

Cette dissociation est renforcée par une plasticité neuronale négative, où les réseaux de la peur se renforcent avec chaque scénario d’échec projeté.

Symptômes Neurobiologiques :

• Hyperactivation de l’amygdale
• Dysfonctionnement du cortex préfrontal
• Altération de la plasticité neuronale
• Hyperréactivité du système limbique
• Diminution de la neurogenèse
• Troubles de la mémoire
• Difficulté à réguler les émotions
• Réponses de stress exacerbées
• Réduction de la connectivité neurale
• Épuisement des circuits neuronaux

Les peurs transmises et la croyance en un après se manifestent par des comportements d’évitement et de retrait.

L’individu est susceptible de procrastiner, d’éviter les situations perçues comme risquées, et de s'engager dans des comportements de réassurance ou de contrôle excessif.

La barrière d’accès au corps se traduit par une dissociation physique et émotionnelle, où l'individu peut négliger les soins personnels et manifester des comportements autodestructeurs.

L'état d’alerte permanent conduit à une hypervigilance et à une réactivité accrue, affectant les interactions sociales et professionnelles.

Symptômes Comportementaux :

• Évitement des situations risquées
• Procrastination
• Comportements de réassurance
• Contrôle excessif
• Négligence des soins personnels
• Hypervigilance
• Isolement social
• Réactivité accrue
• Comportements compulsifs
• Abandon des responsabilités

Un déséquilibre au niveau du méridien des Reins peut entraîner de l'anxiété chronique. Le stress prolongé peut évoluer vers des troubles anxieux généralisés ou des troubles de stress post-traumatique.

Les déséquilibres biochimiques et neurobiologiques peuvent engendrer des troubles métaboliques, des maladies inflammatoires chroniques, et des troubles neurologiques.

L’état d'alerte permanent et les comportements de négligence peuvent également conduire à des maladies psychosomatiques, telles que l'ulcère gastrique, l'hypertension, et les maladies cardiovasculaires.

La dissociation et l'autodestruction mentale peuvent précipiter des troubles psychiatriques graves comme la dépression majeure et les troubles obsessionnels compulsifs.

Symptômes Pathologiques :

• Troubles anxieux généralisés
• Stress post-traumatique
• Troubles métaboliques
• Maladies inflammatoires chroniques
• Troubles neurologiques
• Ulcères gastriques
• Hypertension
• Maladies cardiovasculaires
• Dépression majeure
• Troubles obsessionnels compulsifs